Artisto: | Graeme Allwright (Français) |
Uzanto: | jeff |
Daŭro: | 130 sekundoj |
Komenca paŭzo: | 12 sekundoj |
Tononoma sistemo: | Ne definita |
Sakra: | |
Komentoj pri tabulaturo: | - |
Paroles et musique :Peter Seeger
Intro : Am G F E (x4)
Am En mil-neuf-c G ent-quar F ante-de E ux
Alors que j' Am étais E à l'arm Am ée E
On était Am en man G oeuvre dans la F Louis E iane
Une Am nuit au mois de m E7 ai
Le Am capit G aine nous mo F ntre un fle E7 uve
Et c'est comme ç F a que tout / E a co / D mmenc / C é. / B
On Am avait d'la f G lotte j F usqu'aux g'no E ux
Et le v Am ieux con a d E it d'avanc Am er E
Le s Am ergent d G it : " Mon c F apitaine E , ...
Êtes-vous sûr qu'c'est le chemin ? "
- " Sergent, j'ai traversé souvent
Et je connais bien le terrain
Allons, soldats, un peu de courage !
On n'est pas là pour s'amuser "
Y'en avait jusqu'à la ceinture
Et le vieux con a dit d'avancer
Le sergent dit : " On est trop chargés
On ne pourra pas nager "
- " Sergent ne sois pas si nerveux
Il faut un peu de volonté
Suivez-moi : je marcherai devant
Je n'aime pas les dégonflés "
On avait d'la flotte jusqu'au cou
Et le vieux con a dit d'avancer
Dans la nuit, soudain, un cri jaillit
Suivi d'un sinistre glou-glou
Et la casquette du capitaine
Flottait à côté de nous
Le sergent cria : " Retournez-vous
C'est moi qui commande à présent "
On s'en est sortis juste à temps
Le capitaine est mort là-dedans
Le lendemain, on a trouvé son corps
Enfoncé dans les sables mouvants
Il s'était trompé de cinq cents mètres
Sur le chemin qui mène au camp
Un affluent se jetait dans le fleuve
Où il croyait la terre tout près
On a eu d'la chance de s'en tirer
Quand le vieux con a dit d'avancer
La morale de cette triste histoire
Je vous la laisse deviner
Mais vous avez peut-être mieux à faire
Vous n'vous sentez pas concernés
Mais chaque fois que j'ouvre mon journal
Je pense à cette traversée
On avait d'la flotte jusqu'aux genoux
Et le vieux con a dit d'avancer
Y'en avait jusqu'à la ceinture
Et le vieux con a dit d'avancer
Y'en avait d'la flotte jusqu'au cou
Et le vieux con a dit d'avancer...
Y'en avait jusqu'à . . . . .