Artisto: | Georges Brassens (Français) |
Uzanto: | Rv |
Daŭro: | 130 sekundoj |
Komenca paŭzo: | 12 sekundoj |
Tononoma sistemo: | La Hispana (B->SI) |
Sakra: | |
Komentoj pri tabulaturo: | - |
CHANSON POUR L'AUVERGNAT
Georges BRASSENS
Bm F#7 Bm
Elle est à toi cette chanson, Toi l'Auvergnat qui sans façon
F#7 Bm A7 D F#7
M'as donné quatre bouts de bois, Quand dans ma vie il faisait froid
Bm F#7 Bm
Toi qui m'as donné du feu quand, Les croquantes et les croquants
Bm F#7 Bm A7 D
Tous les gens bien intentionnés, M'avaient fermé la porte au nez
D G A7 D Bm Em F#7 Bm
Ce n'était rien qu'un feu de bois, Mais il m'avait chauffé le corps
F#7 Bm G F#7
Et dans mon âme il brûle encore, A la manière d'un feu de joie
Bm F#7 Bm
Toi l'Auvergnat quand tu mourras, Quand le croque-mort t'emportera
E7 A F#7 Bm
Qu'il te conduise à travers ciel, Au père éternel
Bm F#7 Bm
Elle est à toi cette chanson, Toi l'hôtesse qui sans façon
F#7 Bm A7 D F#7
M'as donné quatre bouts de pain, Quand dans ma vie il faisait faim
Bm F#7 Bm
Toi qui m'ouvris ta huche quand, Les croquantes et les croquants
Bm F#7 Bm A7 D
Tous les gens bien intentionnés, S'amusaient à me voir jeûner
D G A7 D Bm Em F#7 Bm
Ce n'était rien qu'un peu de pain, Mais il m'avait chauffé le corps
F#7 Bm G F#7
Et dans mon âme il brûle encore, A la manière d'un grand festin
Bm F#7 Bm
Toi l'hôtesse quand tu mourras, Quand le croque-mort t'emportera
E7 A F#7 Bm
Qu'il te conduise à travers ciel, Au père éternel
Bm F#7 Bm
Elle est à toi cette chanson, Toi l'étranger qui sans façon
F#7 Bm A7 D F#7
D'un air malheureux m'as souri, Lorsque les gendarmes m'ont pris
Bm F#7 Bm
Toi qui n'as pas applaudi quand, Les croquantes et les croquants
Bm F#7 Bm A7 D
Tous les gens bien intentionnés, Riaient de me voir emmener
D G A7 D Bm Em F#7 Bm
Ce n'était rien qu'un peu de miel, Mais il m'avait chauffé le corps
F#7 Bm G F#7
Et dans mon âme il brûle encore, A la manière d'un grand soleil
Bm F#7 Bm
Toi l'étranger quand tu mourras, Quand le croque-mort t'emportera
E7 A F#7 Bm
Qu'il te conduise à travers ciel, Au père éternel